Le grand chelem : jamais sans la banane !


Une tonne[1], c’est la quantité moyenne de bananes consommées par les joueurs durant le tournoi de Roland Garros. Véritable «Reine des courts », la banane est présente à tous les rendez-vous du Grand Chelem. De l’Open d’Australie à l’US Open, elle fait partie intégrante du régime alimentaire du tennisman. « Pas de match, sans sa banane » : retour sur les dessous de ce phénomène international.

« La banane tu prends, la force tu auras »

Entre baisse de la forme et aptitude d’endurance, l’un des plus grands défis pour le tennisman est de pouvoir tenir plusieurs sets d’affilée. Et c’est là que la banane arrive à point !
0 crampe, 100% énergie, 100% résistance
Riche en potassium, elle a l’avantage de compenser les pertes énergétiques liées à la sudation – et permet donc de réduire le risque de crampes. Elle permet aussi au sportif d‘éviter les risques d’hypoglycémie pendant le match grâce à ses sucres rapides. Et à l’inverse, grâce à ses sucres lents, le tennisman pourra résister plus longtemps. Facile à transporter, à éplucher et à consommer, la banane est vraiment l’allié idéal des champions du gazon et de la terre battue !
La banane « Reine des courts » : la faute à B.B. !
A chaque set, une banane. Et oui, c’est sans aucun doute de Boris Becker que la starification de la banane sur les courts nous vient. Ainsi – pendant sa période de gloire (au Wimbledon de 1995), l’une des images les plus mémorables reste encore celle où il dévorait des bananes entre les sets. Joueur ayant gagné le plus grand nombre de matchs contre un numéro un mondial, peut-on aller jusqu’à dire que la banane aura participé à ce succès ?
A vous de tester, en intégrant dans votre régime alimentaire la banane. Notre astuce ? Prendre la banane à vos repas d’avant match, environ trois heures avant de commencer vos échauffements.


[1] www.rolandgarros.com